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Valéry, Paul

  • Personne
  • 1871–1945

Paul Valéry was born in Sète, France, in 1871. He studied law in Montpellier and developed an interest for poetry and architecture. From 1888 until 1891 he wrote many poems, before devoting his life to science and philosophy of science during the mid-1890s. From 1897 until 1900 Valéry worked as a civil servant in the French War Office and subsequently served as private secretary to the director of the French press association, Edouard Lebey, until the latter’s death in 1922. In 1917 Valéry published La Jeune Parque which brought him instant fame. Other publications included Album des vers anciens (1920) and the Variétés series (since 1924). His personal diary was published as Cahiers from 1973. Valéry was elected to the Académie française in 1925. He became head of administration at the Centre Universitaire Méditerranéen at Nice in 1933, and in 1937, a professorship of poetry was created for him at the Collège de France. On his death in 1945 he received a full state funeral.

A prominent public intellectual, Valéry had many acquaintances in European intelligentsia, politics, and the military. At the International Institute of Intellectual Cooperation (IIIC), he was a member of the Sub-Committee on Arts and Letters, and from 1935 until 1938 he chaired the Permanent Committee on Arts and Letters. Valéry was a principle advocate of intellectual cooperation, arguing that “a League of Nations implies a league of minds”, a motto that was adopted by the IIIC for its annual reports.

Worlddidac

  • Collectivité

Wu Zhihui

  • Personne
  • 1865-1963

Wu Zhihui, de nationalité chinoise, est membre de la CICI entre 1930 et 1939. Aux côtés de Tsai Yuan Pei (ou Cai Yuanpei, 蔡元培, premier président de l’Academia Sinica et ancien ministre de l’Instruction publique en Chine) et de Li Yu Ying (ou Li Shizeng, 李石曾), Wu Zhihui fonde la Commission chinoise de Coopération intellectuelle en 1933 (dont le siège est à Shangai). Il en devient le président jusqu'à la dissolution de l'Organisation de Coopération Intellectuelle en 1946. En 1935, la commission chinoise a projet de fonder un équivalent en Chine de l’IICI, devant originellement s’appeler l’"Institut Wu Shi-Fee" puis l’"Institut Sino-International de Coopération intellectuelle", qui fonctionnerait sous le patronage de l’association "Che Kiai Cheu" (Association de Coopération Sino-Internationale pour le développement intellectuel, économique et social). Le 22 septembre 1937, Wu Zhihui envoie un télégramme à la SDN, lu par Li Yu Ying à Genève devant l’Assemblée de la SDN. Il y détaille les destructions culturelles liées à la guerre sino-japonaise, qui avait débuté en juillet 1937.

Zimmern, Alfred

  • Personne
  • 1879–1957

Alfred Zimmern was born in 1879 in Surrey, England, into a family with German Jewish and Huguenot ancestry. He was educated at Winchester College and New College, Oxford, gaining first class honours in classics in 1902, and remained at New College as a tutor and fellow until 1909. Following a trip to Greece he published his widely acclaimed book The Greek Commonwealth in 1911. In his academic work he combined classical Greek idealism with an interest in contemporary international affairs, often optimistic to outlaw war by internationalist means.

From 1912-1915, he worked as an inspector at the Board of Education, before joining the Ministry of Reconstruction in 1917 and the political intelligence department at the Foreign Office in 1918. In this capacity he attended the Paris Peace Conference in 1919. An avid supporter of international cooperation, Zimmern drafted a memo for a league of nations that Lord Robert Cecil took to the Paris Peace Conference. Zimmern was involved in founding the British League of Nations Society in 1917 as well as the Royal Institute of International Affairs (Chatham House) in 1919–1920. From 1919–1921, Zimmern was inaugural Woodrow Wilson Professor of International Politics at Aberystwyth, Wales. He lectured at Cornell University from 1922–1923, and in 1924 he stood unsuccessfully as a Labour Candidate in the general election.

From 1926–1930, he served as Deputy Director of the International Institute of Intellectual Cooperation (IIIC). During his time as Deputy Director of the IIIC, Zimmern headed the University Relations Section. He was Chief of the Section for General Affairs, as of 1926. He also played an important role at the International Studies Conference, a gathering of experts on International Relations under the auspices of the IIIC, of which he became the first rapporteur in 1928.

In 1930 he returned to academia, becoming the first Montague Burton Professor of International Relations at Oxford, a post that he held until 1944. During the late 1920s he also offered summer schools on International Relations in Geneva. He was knighted in 1936. After the war he served as Secretary-General of the London Conference to establish UNESCO in November 1945 and then as an Advisor to the Preparatory Commission of UNESCO, but was replaced by Julian Huxley who went on to become UNESCO’s first Director-General. Zimmern died in 1957 in Connecticut.

Department of Mass Communication

  • Collectivité
  • 1945-1974

Un service de Mass Communication a été mis en place dès la formation de l’UNESCO en 1945. En 1947, il prend le nom de Mass Media avant d’adopter définitivement celui de Department of Mass Communication en 1950. Rattaché tout d’abord directement au cabinet du directeur général, il passe sous la direction du directeur général adjoint pour la communication en 1967. En 1974, il rejoint l’Office of Free Flow of Information and International Exchanges pour former le Department of Free Flow of Information and Development of Communication.
L’information des masses découle de la mission de l’UNESCO de développer la connaissance et la compréhension mutuelle entre les Nations. Pour ce faire, elle produit des contenus à travers différents médias qu’elle diffuse largement. A sa création, l’information des masses comprend trois domaines principaux : la presse, le cinéma et la radio, ainsi que des domaines secondaires tels que l’enregistrement sonore et la télévision. La presse ne regroupe pas seulement les quotidiens ou hebdomadaires d’information mais aussi les revues spécialisées. L’édition rentre aussi dans son champ d’activité. Par film, il faut entendre le film documentaire, le film éducatif et scientifique, le film destiné aux spécialistes et le film destiné aux spectacles. Le champ de la radio s’étend aussi bien aux nouvelles, à la propagande et à l’information générale qu’à la publicité, l’émission de variétés, l’enseignement, la science, l’art et le drame. L’information des masses a pour but de favoriser la circulation de l’information à travers le monde sur des sujets comme la paix, le progrès humain, l’éducation, la science et la culture. Le Department of Mass Communication cherche à la fois l’amélioration des moyens et des techniques d’information et la réduction des obstacles à la circulation internationale de l’information. Ainsi, de 1947 à 1951, il a réalisé une enquête sur l’état des moyens de communication dans nombre de pays membres. Il coopère sur ces sujets avec des organisations nationales ou internationales et organise des conférences entre des pays sur les sujets de communication.

Adiseshiah, Malcolm S.

  • Personne
  • 1910-04-18 - 1994-11-21

Malcolm Sathianathan Adiseshiah est né à Vellore, Inde, le 18 avril 1910. Il obtient un Bachelor of Arts in Economics du Loyola College en 1930 à Madras, et étudie ensuite au King’s College, Cambridge University, et à la London School of Economics, obtenant alors son PhD en 1940.
Adiseshiah commence sa carrière comme Lecturer in Economics à St. Paul’s College à Calcutta de 1931 à 1936. Il est ensuite Professor of Economics au Madras Christian College de 1940 à 1946. A cette période, il est aussi membre du groupe d’économistes qui développe le plan décennal pour l’industrialisation de l’Inde. Adiseshiah exerce la fonction de Secrétaire général adjoint à l’Entr’aide Universitaire Mondiale (EUM) à Genève de 1946 à 1948.
En 1948, Adiseshiah commence sa carrière à l’UNESCO comme Chef adjoint du Service des échanges de personnes. Il devient Chef de l’Unité d’assistance technique au sein du Cabinet du Directeur général en 1950. Après un changement organisationnel, Adiseshiah est nommé Chef du nouveau Service de l’Assistance technique. En 1952, le service devient le Département de l’assistance technique, avec Adiseshiah comme Directeur. Lors de la Huitième session de la Conférence générale, à Montevideo, les deux postes de Sous-Directeur général (ADG) sont officiellement créés et Adiseshiah est nommé Sous-Directeur général, en même temps que René Maheu, qui a déjà été placé à ce poste de manière provisoire un peu plus tôt dans l’année. En plus de remplacer le Directeur général si besoin, Maheu est responsable de la diplomatie de l’Organisation. Le rôle d’Adiseshiah est alors de se concentrer sur le programme d’assistance technique, sur l’intégration du programme d’assistance technique au sein du programme ordinaire, et, de manière générale, sur la coordination des activités du programme. Adiseshiah commence officiellement son travail comme ADG au début de l’année 1955. La séparation des tâches entre les ADG reste flexible. En 1960, Adiseshiah est reconnu comme étant le responsable de la gestion et de l’administration du Secrétariat ainsi que des programmes de terrain de l’UNESCO. Entre 1960 et 1963, la responsabilité lui incombe d’aider les pays d’Afrique venant de gagner leur indépendance. Adiseshiah est responsable de l’avancée du plan d’enseignement pour l’éducation primaire universelle en Asie (Karachi Plan) , ainsi que des projets en faveur du développement de l’éducation et la science en Afrique et en Amérique Latine.
De nouveau, face à un changement organisationnel de grande ampleur (les départements devenant des secteurs avec des Sous-Directeurs généraux à leur tête, à la place des Directeurs), Adiseshiah est nommé Directeur général adjoint (DDG) en 1963. A ce poste, en plus de remplacer le Directeur général si besoin, Adiseshiah se voit incomber la responsabilité de coordonner les services du programme développés par l’ensemble de l’organisation dans le cadre des travaux menés sur la contribution de l’éducation, dans toutes ses formes, au développement économique. De même, il a la responsabilité des services du programme s’intéressant au lien direct entre la science et la technologie, d’une part, et le progrès national, d’autre part. Il supervise aussi la coopération de l’UNESCO avec le Fonds spécial des Nations-Unies, et le Directeur général l’a chargé expressément d’organiser et de diriger un système d’inspection des activités de terrain. Adiseshiah reste DDG jusqu’à ce qu’il se retire de l’UNESCO à la fin de l’année 1970. Durant une période de cinq mois, en 1969, il a aussi été Sous-Directeur général par intérim du Secteur des Sciences exactes et naturelles.
Après s’être retiré de l’UNESCO, Adiseshiah devient membre du Tamil Nadu State Planning Commission. De 1970 à 1971, il fonde, avec sa femme, le Madras Institute of Development Studies (MIDS). Il devient le premier Directeur de cet institut et reste président de son Conseil des gouverneurs jusqu’à sa mort. Il exerce les fonctions de président de l’Indian Economic Association (IEA) de 1973 à 1974, de président de l’Indian Adult Education Commission, et de membre du Central Advisory Board of Education (CABE), de l’Indian Council of Social Science Research (ICSSR) et du National Council for Teacher Education (NCTE). En 1975, Adiseshiah devient vice-président de Madras University. En 1978, il est nommé au Rajya Sabha pour un mandat de six ans. Il est président de l’International Council of Adult Education (ICAE). Adiseshiah est aussi président du Conseil d’administration de l’Institut International de Planification de l’Education (IIEP) de 1981 à 1989, ainsi que président du jury des prix internationaux d’alphabétisation de l’UNESCO.
Adiseshiah décède à Madras, Inde, le 21 novembre 1994. Le prix international d’alphabétisation Malcolm Adiseshiah est créé en 1998 grâce à la contribution de l’Inde. Le prix a été décerné toutes les années, de 1998 à 2001, aux actions méritantes et efficaces contre l’analphabétisme. Parmi ses nombreux ouvrages, Adiseshiah a notamment publié Que mon pays s’éveille (Let my country awake - 1970) et Il est temps de passer à l’action (It is time to begin - 1972).

UNESCO. Office of Public Information

  • Collectivité
  • 1948 -

Le Bureau de l’Information apparaît en 1948 pour informer le public des missions et de l’œuvre accomplies par l’UNESCO. Entre 1950 et 1967, sa trace est difficile à suivre. Il semble avoir été absorbé par le Department of Mass Communication dont l’information du public est devenue une mission. En 1967, on le voit réapparaître comme entité distincte. Il est alors rattaché au directeur général adjoint en charge de la communication. En 1990, il est rattaché au bureau exécutif du directeur général. Dans l’organigramme de 2020, il est appelé Division de l’information du public.
« Le Bureau de l’Information diffuse des informations de caractère éducatif, scientifique et culturel, sous une forme accessible au public, aux États membres et aux groupements spécialisés, notamment à la presse. Par sa nature même, ce travail exige la coopération la plus étroite avec le Département de l’Information des masses et avec les autres Département du Programme du Secrétariat. » Rapport du directeur général sur l’activité de l’organisation en 1948, AG 4, 3 C/3.
Le Bureau de l’Information informe le public des buts et du travail de l’UNESCO. Pour ce faire, il utilise la presse, la radio, le film, la photographie et les expositions pour faire connaître les activités de l’UNESCO à travers le monde.

Reitzel, Erik

  • Personne
  • 1941/05/10 - 2012/02/06

« Né en 1941 à Copenhague (Royaume du Danemark), Erik Reitzel est ingénieur du génie civil. Il a été professeur à l’Académie royale de Beaux-Arts et à l’Université technique de Danemark tout comme un théoricien des forces de la nature. Depuis 1971, il exerce une activité d’ingénieur-conseil en collaboration avec son épouse. Erik Reitzel travaille sur des projets de structures et étudie leur minimalisation. Son but est de réaliser tous les travaux d'un cabinet d'ingénieurs, de développer de nouvelles structures et méthodes de construction et de poursuivre des activités de recherche scientifique et industrielle.Il a notamment realisé la Grande Arche de la Défense à Paris en 1983 et le Plateau du Louvre en 1987. Erik Reitzel s'est éteint le 6 février 2012 » (UNESCO La collection des œuvres d'art de l'UNESCO base de données).

Parmis ses publications, Reitzel a publié Le Globe symbolique (2006) et La Grande Arche: sur l'axe historique de Paris (2011). Il a été nommé Chevalier de la Légion d'Honneur de la France en 1990.

Institut international de Coopération intellectuelle. Section juridique

  • Collectivité
  • 1925-1946

L’IICI fonde en 1925 une Section juridique, chargée d’étudier la condition juridique des associations et organisations internationales afin de permettre leur collaboration, ainsi que les questions de droit d’auteur et de propriété intellectuelle dans les domaines scientifique, artistique et littéraire. Elle traite également de questions juridiques relatives au fonctionnement de l’IICI et assiste les autres Sections pour les questions de droit. La Section juridique travaille en coopération avec le Bureau de Berne et le Bureau international du Travail (BIT), ainsi que d’autres institutions internationales, tel que l’Académie internationale de Droit comparé de La Haye.

"La Section juridique étudie les problèmes de droit que soulève l’activité de l’Institut ou qui se rattachent aux relations intellectuelles internationales. Elle s’occupe de la protection des droits des travailleurs intellectuels, à l’exception des points qui concernent le contrat de travail proprement dit, lesquels restent de la compétence du Bureau International du Travail. La Section se tient en étroites relations avec le Bureau International du Travail". [article XXIV du Règlement intérieur de l’IICI].

Hoggart, Richard

  • Personne
  • 1918-09-24 – 2014-04-10

Richard Hoggart est né à Leeds, Royaume-Uni, le 24 septembre 1918. Il fait ses études à Leeds University de 1936 à 1940. Son Master of Arts dans cet établissement est interrompu lorsqu’il est enrôlé pour servir dans la seconde guerre mondiale. Après la guerre, de 1946 à 1959, il devient Tutor à University College, Hull, et ensuite Senior Tutor à Hull University. C’est durant cette période qu’il publie son ouvrage le plus célèbre, La Culture du pauvre (The Uses of Literacy - 1956). En 1959, il accepte un poste de Senior Lecturer in English à University of Leicester. Il est nommé Professor of English à University of Birmingham en 1962, où il devient le premier Directeur du Centre for Contemporary Cultural Studies.
Hoggart est nommé membre du Comité consultatif pour la culture de la Commission nationale du Royaume-Uni pour l’UNESCO de 1966 à 1970. En tant que tel, il assiste aux Conférences générales de 1966 et de 1968 au sein de la délégation du Royaume-Uni. Il est également observateur en 1969 lors de la Réunion d’experts en vue de préparer la Conférence intergouvernementale de 1970 sur les politiques culturelles.
Hoggart rejoint l’UNESCO en février 1970, lorsqu’il accepte le poste de Sous-Directeur général pour les sciences sociales, les sciences humaines et la culture (SHC). Lorsqu’il exerce ces fonctions, les tâches du secteur SHC comprennent des travaux tels que : les droits de l’Homme et l’action contre le racisme ; des études sur la population, dont des travaux pour l’Année mondiale de la population ; le renforcement des sciences sociales dans les pays en développement, dont l’établissement de centres de recherche et de documentation en sciences sociales ; des travaux préparatoires pour l’Année internationale de la femme ; des études sur la culture et l’environnement ; l’étude des cultures ; l’Histoire générale de l’Afrique ; la série de sessions régionales de Conférences intergouvernementales sur les politiques culturelles ; des campagnes internationales continues pour la sauvegarde du patrimoine culturel de même que l’adoption de la Convention concernant la protection du patrimoine mondial, culturel et naturel (1972) ; et le développement culturel ainsi que le lancement d’un Fonds international pour la promotion de la culture (FIPC).
Hoggart raconte son expérience à l’UNESCO dans ses mémoires, An Idea and Its Servants: UNESCO from Within (1978) et An Imagined Life (1993), où il mentionne en particulier les impressions qui lui sont restées des missions dont il a eu la charge. Dans An Imagined Life, Hoggart revient de manière plus précise sur deux des projets essentiels qui ont marqué ses derniers moments à l’UNESCO. Pour le premier projet, le secteur SHC se chargeait de préparer le rapport sur « l’état de l’éducation nationale et de la vie culturelle dans les territoires arabes occupés » qui avait été demandé durant la 17ème session de la Conférence générale et présenté lors de la 18ème. Le second projet abordé par Hoggart est le travail de l’UNESCO concernant la préservation de l’environnement physique et du patrimoine culturel de la vallée de Katmandu.
Après son passage à l’UNESCO, Hoggart devient Warden de Goldsmith’s College, University of London. Il occupe ce poste jusqu’à sa retraite en 1984. Il a aussi fait partie du Comité consultatif pour la communication à la Commission nationale du Royaume-Uni pour l’UNESCO de 1977 à 1979. Au cours de sa carrière, il a pris part à beaucoup d’autres comités, comme simple membre ou en tant que participant au Conseil d’administration, tels que les instances britanniques suivantes : Governor, Royal Shakespeare Company (1962-1988) ; Arts Council of Great Britain (1976-1981) ; président, Advisory Council for Adult and Continuing Education (1977-1983) ; et vice-président, Unesco Forum (1997-2008).
Hoggart décède le 10 avril 2014.

UNESCO Asian Regional Institute for School Building Research

  • Collectivité
  • 1962-1973

The Asian Regional Institute for School Building Research (ARISBR) was organized through the cooperation of UNESCO and the Government of Indonesia to assist in solving the school building problems in the Region. It was created in Bandung in late 1962 with the expectation to last for ten years. On 1 January 1965, the President of Indonesia announced that Indonesia is withdrawing from the United Nations and most of its agencies, one of which was UNESCO. This meant that ARISBR had to be located in another country and was temporarily moved to Bangkok, on 1 June 1965. It finally moved to Colombo, Sri Lanka and closed its door in 1973.

Mediacult

  • Collectivité

Montessus, Robert de

  • Personne
  • 1870-05-20 - 1937-01-26

« Robert de Montessus de Ballore est un mathématicien français né en 1870, décédé en 1937. En 1898, il entre à la Société Mathématique de France, parrainé par les mathématiciens Charles-Ange Laisant et Maurice d'Ocagne. Robert de Montessus est professeur à l'Université Catholique de Lille avant la première guerre mondiale. Au début des années vingt, il quitte cette université et en 1924, il obtient un poste à l'Office National de Météorologie à Paris. Robert de Montessus soutient une thèse, dirigée par le mathématicien Paul Appell, à la Sorbonne en 1905. On lui doit des travaux importants dans le domaine des fractions continues algébriques. Ces travaux sont couronnés par un Grand Prix de l'Académie des Sciences en 1906. Parallèlement, il s'intéresse dès sa thèse aux Probabilités. Il publia en 1908 un ouvrage d'introduction aux probabilités dans lequel il consacra un chapitre aux travaux novateurs de Louis Bachelier sur la théorie de la spéculation. Il s'oriente ensuite vers des recherches en géométrie comme par exemple l'étude de certaines courbes gauches algébriques. Robert de Montessus entre en 1917 au comité de rédaction du Journal de Mathématiques Pures et Appliquées à la demande de Camille Jordan. A partir de 1924, ses travaux de recherche portent sur les statistiques appliquées. Robert de Montessus eut donc une activité de publication importante au niveau recherche et publia dans des revues réputées comme Acta Mathematica ou le Journal de Mathématiques Pures et Appliquées. S'ajoutent à cela des publications dans des revues comme l'Enseignement des Mathématiques, La revue du Mois et des activités dans des sociétés savantes comme la Société Scientifique de Bruxelles. Robert de Montessus publia en outre plusieurs ouvrages de mathématiques sur des sujets aussi variés que le calcul numérique, les probabilités, les fonctions elliptiques, la mécanique rationnelle ou encore les statistiques. Signalons que son frère Fernand (1851-1923) est considéré à présent comme un des précurseur de la sismologie moderne » (Le Ferrand, 2013).

En 1919, Robert de Montessus s’est lancé dans la publication de l’Index Generalis, censé être un annuaire des établissements d'enseignement supérieur et d'instituts de recherches, du monde entier. Comme rédacteur, il était en contact au fil des années avec la Commission internationale de coopération intellectuelle et l’Institut internationale de coopération intellectuelle (Le Ferrand, 2010).

International Computation Centre

  • Collectivité
  • 1951-1974

The International Computation Centre (ICC) was created after a series of resolutions by the United Nations Economic and Social Council and UNESCO between the years 1946 to 1951. In 1951, a Conference for the Establishment of the ICC was held and resulted in an International Convention creating the Centre. However, it was not until November 1961 that the ICC began operations as an organization autonomous from UNESCO.

At the end of 1969, the objectives of the Organization were modified to take into account significant technological changes. Through these changes, the ICC was to transform into a new organization to be called the Intergovernmental Bureau for Informatics. The transformation happened in three stages, during which the ICC became known as ICC-IBI (1971-1972), then IBI-ICI (1973-1974), until the VII General Assembly in December 1974 when the organization officially transformed to the IBI.

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